1. Nommer un responsable ayant une bonne maîtrise de l'anglais. Il agira de l'appel d'offres à la mise en oeuvre, en passant par la phase de tests
2. S'assurer de la participation active des équipes internes et de leur sensibilisation aux avantages et risques potentiels du modèle offshore. Ces équipes devront parler anglais et rédiger les spécifications.
3. Démarrer avec un projet pilote, utilisant des objectifs mesurables et représentant les futurs projets. Un projet manquant d'ambition ne sera pas probant.
4. Passer en revue et documenter les processus internes
5. Rencontrer les consultants offshore qui travailleront sur le projet pour évaluer leur capacité à s'adapter à la culture de l'entreprise
6. Documenter les rôles et responsabilités, ainsi que les attentes particulières, comme les étapes et dates de livraison
7. Mettre en place une infrastructure de communication sécurisée
8. Permettre un transfert de connaissances pour s'assurer que le fournisseur comprend l'environnement technologique du client et créer un environnement collaboratif
9. Vérifier que ses employés peuvent s'adapter à d'autres cultures. Dans le cas de la France, la pratique de la langue anglaise vient, bien sûr, s'ajouter à cet obstacle
10. Tenir des réunions d'avancement et mesurer les performances du prestataires comme celles des utilisateurs
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