vendredi 22 novembre 2013

Les Taux moyens journaliers

jeudi 3 octobre 2013

dimanche 29 septembre 2013

Inde : un employeur fait payer les candidats qui se désistent






http://articles.economictimes.indiatimes.com/2013-08-23/news/41440580_1_job-offer-penalty-clause-offer-letter


Inde : un employeur fait payer les candidats qui se désistent 


« Si vous ne venez pas le jour de votre prise de fonction, vous perdez votre place et devez verser 5 % du salaire promis ». Voilà à quoi pourrait ressembler la nouvelle « clause de pénalité » qu’a décidé de faire figurer dans ses contrats de travail le fabricant de carbone indien Phillips Carbon Black Limited, d’après The Economic Times .
Déjà testée sur une quinzaine de candidats, la nouvelle « obligation légale » que cet employeur a inventé a incité deux d’entre eux à refuser le poste qu’ils briguaient. En revanche, un troisième, pressenti pour devenir le nouveau vice-président de l’entreprise, doit désormais s’affranchir de la coquette somme de 4,5 millions de roupies (soit 52 200 euros) faute de s’être présenté le jour auquel devait débuter son contrat de travail.
De quoi rembourser les frais de recrutement – estimés entre 2500 et 8000 euros en France (d’après Search Place, courtier en recrutement) – et de gagner en efficacité. « Cela nous fait perdre des mois lorsqu’un candidat se rétracte. Nous demandons aux postulants d’y réfléchir à deux fois avant de signer un contrat de travail », a confié Sabyasachi Bhattacharya, directeur des ressources humaines du fabricant, au journal.
Elodie Buzaud © Cadremploi.fr
Déjà testée sur une quinzaine de candidats, la nouvelle « obligation légale »[SDP1]a incité deux d’entre eux à refuser le poste

samedi 27 juillet 2013

Comment les americains grugent leur propre systeme


http://www.cadremploi.fr/editorial/actualites/actu-emploi/detail/article/silicon-valley-une-ile-artificielle-pour-ingenieurs-sans-visa.html#xtor=EPR-235

Silicon Valley : une île artificielle pour ingénieurs sans visa



6 000 postes non pourvus chez Microsoft, Google qui s’apprête à recruter des personnes non diplômées sachant coder… C’est dire à quel point les États-Unis manquent  d’ingénieurs. D’autant plus qu’ils ne peuvent pas compter sur l’immigration pour combler : les quotas sont limités à 65 000 visas de travail par an. Bien trop bas pour les sociétés high-tech de la Silicon Valley… En 2012, au mois de mai, le seuil des 65 000 était déjà dépassé.
Trois entrepreneurs américains ont une idée pour remédier au problème… Ils ont pour projet de créer une île artificielle au large de la Silicon Valley, nommée Blueseed, pour héberger 1 540 passagers, ingénieurs et des sociétés étrangères. Plus de problèmes de visas dans ce cas puisque l’île serait localisée dans les eaux internationales.





jeudi 25 juillet 2013

Le retour du made in France?


Interessant article de 01 Net

http://pro.01net.com/editorial/599369/le-retour-du-made-in-france-va-t-il-seduire-les-dsi/#?xtor=RSS-28


Bien que le phénomène soit encore marginal dans le domaine de l’informatique, la pression en faveur des relocalisations s’intensifie en France. Un modèle qui pourrait finir par séduire les nombreux DSI déçus des résultats de leurs projets d’offshoring.

samedi 11 mai 2013

Le marché des services informatiques va exploser en Chine


Intéressant article sur le marché intérieur des logiciels en Chine. Sur qu'en parlant français ou même anglais nos entreprises nationales on toutes leurs chances...


http://pro.01net.com/editorial/593763/le-marche-des-services-informatiques-va-exploser-en-chine/


lundi 6 mai 2013

Procter and Gamble veulent couper leur outsourcing en Inde

http://timesofindia.indiatimes.com/tech/tech-news/outsourcing/PG-may-cut-IT-outsourcing-work-from-India/articleshow/19907864.cms


MUMBAI: Un des plus grands budget technologique dans le monde est en train de une remettre en cause l'externalisation qui pourrait entraîner le déplacement du travail vers l'interne lorsque les contrats arriveront à échéance cette année. Toute décision prise par Procter & Gamble de ne pas confier une partie de ses besoins en technologies de l'information à des entreprises de services logiciels est lié à causer de la nervosité chez les sous-traitants indiens et multinationaux.

P & G, dont les produits comprennent détergent Tide et les piles Duracell, envisage la forme et la taille des contrats de 3 milliards de dollars (Rs 16,000 crore) qu'il a octroyé en 2003 à EDS, qui est maintenant la propriété de HP. Les personnes familières avec les plans de la société aux États-Unis a déclaré que le motif de la refonte de P & G, c'est qu'il veut avoir un contrôle direct sur des parties cruciales de la pièce de technologie avec des implications pour son positionnement concurrentiel.

Alors que le mouvement de P & G n'indique pas une tendance contre l'externalisation, le fait qu'un grand dépensier de la technologie envisage une telle démarche n'est pas de bonnes nouvelles pour l'industrie IT de l'Inde, qui devrait croître de seulement 12-14% en 2013-14.

Jusqu'à présent, la part du gouvernement américain appartenant à General Motors et de crédit émetteur de la carte American Express sont les seuls autres grands multinationales qui ont pris externalisée arrière interieur de travail.

La décision de P & G pour explorer la possibilité de réduire l'externalisation arrive à un moment de l'Inde 76 milliards de dollars (Rs 4 lakh crore) Elle exporte secteur est confronté à des incertitudes aux Etats-Unis, son principal marché, qui contribue pour environ 60% du chiffre d'affaires.

Montant des travaux pour être déplacé indécis
"P & G s'appuie sur un réseau mondial de partenariats stratégiques. L'œuvre évolue régulièrement pour répondre au mieux aux besoins de notre entreprise, et en fin de compte, nos consommateurs. Étant donné les relations vastes et variés, nous ne commentons pas ou de spéculer sur les contrats partenariats spécifiques ou des négociations, "un porte-parole de P & G a dit HE.

Une personne familière avec les négociations en cours du contrat de renouvellement - Tata Consultancy Services, Infosys et Wipro sont en lice pour le prix - a dit le pourcentage final des travaux à être déplacé en interne est encore à déterminer. Seule une petite portion de la finance et de travail BPO comptabilité liée avait été attribué à ce jour, à EDS.

Contrats d'une valeur de près de 100 milliards de dollars (près de Rs 5,40,000 crore) sont à renouveler cette année, selon l'externalisation conseil Everest Group, et des entreprises comme Tata Consultancy services, Infosys, Wipro, Cognizant et HCL Technologies espèrent arracher des morceaux de loin les offres des opérateurs historiques multinationales, dont HP, IBM et Accenture.

Un haut dirigeant conseil sur les fournisseurs déclaré que les contrats de technologie multi-milliards de dollars externalisés en 2000-03 viennent à échéance, certaines entreprises n'hésitent pas à revisiter la «construire contre buy 'proposition, d'autant plus que l'entreprise de technologie évolue rapidement et le service externe Les fournisseurs aussi sont dans une courbe d'apprentissage.

"General Motors a fait. Et maintenant, P & G est l'examiner. Il ya une augmentation de ce type de patriotisme de travail là-bas (aux États-Unis). C'est la forme des choses à venir", a déclaré une personne familière avec les développements par le biais de conversations avec les hauts dirigeants de l'industrie IT indienne. Il a parlé de la condition de l'anonymat.

General Motors a déclaré en Janvier il pourrait embaucher 10.000 professionnels de l'informatique sur 3-5 ans. La compagnie avait précédemment compté sur l'externalisation, la signature de contrats valeur d'environ 7 milliards de dollars en 2003.

Il ya un changement en cours fondamental dans la nature de l'industrie indienne des services informatiques, a déclaré Kumar Parakala, directeur de l'informatique consultatif au cabinet de conseil KPMG. Pour être en mesure de faire des offres plus persuasives aux clients, entreprises informatiques indiennes auraient besoin de plus la présence locale aux États-Unis, at-il observé.

«Si les entreprises indiennes veulent puiser dans le travail qui va être fait en interne, ils doivent présence plus terre. Ils doivent monter en puissance des équipes au sein des marchés et s'imposer comme une forte présence locale», a déclaré Parakala.

samedi 5 janvier 2013

http://www.zdnet.fr/actualites/l-offshore-un-marche-plus-important-qu-il-n-y-para-t-39774317.htm



L’offshore, un marché plus important qu’il n’y paraît ?

Technologie : D’après une étude d’Offshore Développement, l’offshore flirte en France avec les 10% du marché global des services IT, et devrait avoisiner les 15% en 2013. Une évaluation qui dépasse largement celle du syndicat des SSII.L’emploi des informaticiens français va-t-il pâtir d’un recours accru à l’externalisation dans les pays à bas coûts ?
Par Christophe Auffray | 
L’offshore a mauvaise presse. Surtout pour le secteur du numérique qui revendique une forte contribution à la création d’emplois . Et dans une économie en crise marquée par un taux de chômage élevé, l’argument ne laisse pas indifférent les politiques, comme en témoignent par exemples les discussions du gouvernement avec les opérateurs.
En France, d’après la chambre patronale des services informatiques et de l’édition logicielle, Syntec Numérique, et différents cabinets, l’offshore selimiterait à 5% du marché des services IT. Le développement de l’implantation des SSII , notamment françaises, dans les pays spécialisés dans l’offshore, dont l’Inde et les pays d’Europe de l’Est, permet toutefois de s’interroger sur la réalité de ce chiffre.
Des projets découpés et traités en partie en offshore
Et d’après la société spécialisée dans l’Offshore, Offshore Développement , la part de ce marché est bien sous-évaluée car négligeant une partie des prestations effectivement réalisées en offshore. La part de l’offshore avoisinerait ainsi en fait les 10%.
« Ces chiffres [Ndlr : 5%] ne prennent pas en compte : le développement informatique ou la R&D implantés dans des filiales des grands groupes implantés dans des pays émergents, les services réalisés par les entités des SSII occidentales implantées en offshore , l’activité des SSII offshore (Inde, Roumanie, Ukraine, etc ) via des SSII occidentales maîtres d’œuvre » justifie l’étude réalisée par l’entreprise.
 
« En réalité, les études sur l’offshore ne prennent jamais en compte la totalité du périmètre offshore. Il est très fréquent, en effet, que ces études "oublient" un ou plusieurs des types d’offshore » confirme le Munci .
La pénurie de compétence comme justification de l'offshore
Et ce marché devrait encore croître pour tendre vers les 15% en 2013 évalue Offshore Développement, avec des services IT qui concernent principalement les développements spécifiques, la TMA (tierce maintenance applicative) et le support applicatif.
Parmi les arguments cités par les entreprises pour expliquer ce recours accru à l’externalisation en offshore, le coût (35%) et la pénurie de compétence (25%) se détachent, devant le gain de temps (18%) et la flexibilité (22%).
Mais cette croissance de l’offshore menace-t-elle l’emploi en France ? Pour Offshore Développement, nullement. « Affirmer que l'offshore informatique qui augmente va entrainer une baisse des emplois dans le secteur informatique en France est faux. » Une position – contredite - qui n’est toutefois pas étayée par des arguments.
« Malgré un ralentissement de la croissance dans le secteur informatique en 2012, il conviendra de faire cohabiter inshore et offshore en bonne intelligence car les sociétés françaises ont un intérêt économique et stratégique à travailler sur des zones offshores afin de rester compétitives face nos concurrents allemands, anglais ou américains » préconise l’étude. (crédit images : Offshore Développement)
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